Sandra Maas, directrice générale de Hague Corporate Affairs.
Sandra Maas, directrice générale de Hague Corporate Affairs. Sandra Maas est depuis
L’équipe est un cocktail de personnalités fortes qui partagent un esprit collectif puissant, une bonne dose d’humour, un franc-parler, une implication personnelle et de l’engagement. Ce sont là les ingrédients de la réussite, car c’est en étant ouvert aux autres et en ayant connaissance des problèmes de chacun, que l’on peut remplir au mieux son rôle de consultant. Je suis vraiment frappée par le mélange optimal de passionnés des médias et de politique. Tout le monde manifeste une curiosité sans bornes ces domaines et pour les faits de société. Je trouve cet environnement tout particulièrement stimulant, où tout sujet se transforme en discussion passionnante.
On est très bricoleurs dans la famille. J’ai toujours vu mes parents réparer et embellir toute sorte de choses. C’est une passion contagieuse et cela me détend de poncer, de choisir les couleurs et de donne une second jeunesse aux meubles. J’aime l’idée de créer quelque chose de nouveau tout en conservant la force de l’ancien. Mon passe-temps n’a rien à voir avec IKEA. IKEA reste mon grand amour parce que l’entreprise s’est toujours engagée à améliorer le quotidien de chacun, à travers le monde. Une partie de cet engagement consiste à intégrer le passé et le présent. C’est aussi ce qui me plaît dans la restauration de meubles.
Les entreprises sont confrontées, au quotidien, aux grandes transitions sociétales. Si, en tant qu’acteur économique, vous ne placez pas vos activités au cœur de la société, il vous sera difficile de l’influencer ou d’y contribuer. Cela implique de se diversifier et de se montrer inclusif. Ne pas tenir compte de son environnement local, national et international, pourra à l’avenir lui porter préjudice. C’est aussi simple que cela. C’est ce que j’appelle le karma des affaires. Lorsque vous vous engagez pour notre planète, celle-ci vous le rend. Chez Hague, j’ai découvert le pouvoir de l’inclusion. C’est un environnement de travail unique où se côtoient des personnes expérimentées et de jeunes talents en devenir. Cela crée une dynamique particulière.
J’étais à la recherche d’un certain esprit d’entreprise, d’espace pour exprimer ses prises d’initiatives et avoir un impact plus rapide au plus près des choses. En outre, je suis politologue et j’ai occupé diverses functions de direction dans le domaine des affaires publiques et de la communication. J’étais particulièrement curieuse lors de ma première rencontre avec Peter et Vincent, les fondateurs de Hague. Et il se trouve que la curiosité est l’une des valeurs fondamentales de notre cabinet. Je crois fermement en ce que notre mission. Je tiens à aider les entreprises à assumer leur rôle dans la société. C’est tout à leur intérêt, car ce faisant, elles attirent plus de clients et de talents, et génèrent plus de profits. Un rôle constructif dans la société signifie aussi plus d’influence. Il me semble que les gens ont tendance à compliquer le terme « impact ».Nous voulons avoir un impact et faire avancer les transitions de notre époque parce que nous y avons tous à y gagner. Si vous restez passifdevant les changements qui s’imposent, alors votre avenir est compromis. Ainsi va la vie en fin de compte. C’estune question de « karma ». .L’époque où l’on pouvait faire du profit sans se soucier de son impact est révolue. Je souhaite apporter ma contribution aux grandes transitions de notre ère, et je pense que nous nous devons d’être positifs, constructifs et optimistes à cet égard.
Je suis moi-même très intéressée par l’investissement d’impact car les investisseurs, en collaboration avec les gouvernements, sont les catalyseurs des grandes transitions de notre époque. Hague peut aider les entreprises à positionner, influencer et attirer ces investisseurs. Les financements existent. La question est de savoir où les trouver, qui sont les acteurs prêts à investir et comment entrer en contact avec eux. Par exemple, nous sommes de plus en plus conscients des limites de notre planète. Il nous faut donc adopter des chaînes de valeur plus circulaire, si l’on veut que nos économies disposent de suffisamment de matières premières à l’avenir. Cela nécessite des investissements de long terme.
En amitié ou en affaires, tout commence par une discussion ouverte et sincère. Il ne s’agit pas seulement de faire passer un message, mais de se mettre également à la place de l’autre et de faire preuve de curiosité. Vous trouverez que c’est aussi la base d’une bonne gestion des affaires publiques et de la communication d’entreprise.
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Sandra Maas, directrice générale de Hague Corporate Affairs. Sandra Maas est depuis