A l’heure où les réseaux sociaux permettent à tout un chacun de s’improviser journaliste, les médias traditionnels sont dans la tourmente. Ces deux phénomènes imposent de nouvelles exigences, auxquelles les entreprises, les organisations et leurs figures de proue (PDG, administrateurs, dirigeants politiques, porte-paroles et directeurs de communication) doivent s’adapter. Vous devez être capable de vous mettre à la place d’un journaliste et, plus important encore, de son public.
En pleine crise, pas le temps de tergiverser ! Comment votre organisation sous pression réagit-elle lorsqu’une attention médiatique inattendue peut porter atteinte à sa réputation ? Restez-vous silencieux ou réagissez-vous ? Reconnaissez-vous vos erreurs et quelles perspectives cela peut-il vous offrir ?
Il existe mille et une façons de communiquer mais la « narration » reste le meilleur moyen de capter l’attention. Un récit authentique donne vie à votre organisation.
Un e-mail qui reste sans réaction ou qui agace vos collègues, une proposition qui tombe à plat, un rapport qui atterrit au fond d’un tiroir. Toutes les organisations connaissent ces déboires qui sont souvent la conséquence d’un texte trop vague ou ennuyeux.
Lorsque nous communiquons, nous mettons généralement l’accent sur le positif : les produits et les résultats. Nous plaçons souvent les questions qui fâchent sous le boisseau, tout au bas d’une foire aux questions. Or, une communication ouverte à propos des dilemmes peut justement mieux disposer vos interlocuteurs à votre égard.
Quels sont les convictions, les intérêts et les positions de vos interlocuteurs ? Dans quelle mesure convergent-ils avec les vôtres ou s’y opposent-ils ? Lesquels ont un pouvoir de nuisance ?
Quel est l’objectif de la représentation d’intérêts ? Quels peuvent être vos alliés et vos adversaires ? Comment influencer ces acteurs ? Et plus fondamental encore : par quels moyens et avec quels messages ? Autant de questions qui importent pour élaborer un plan de représentation d’intérêts efficace.